En tant que responsable d’un centre de formation, je me trouve au cœur d’un domaine que je chéris depuis plus de 10 ans. La formation professionnelle est ma passion, mais aujourd’hui, je ne peux rester silencieuse face à une injustice flagrante :
la contribution de 10 % imposée aux bénéficiaires du Compte Personnel de Formation (CPF).
Une Vision Engagée :
Mon parcours dans le monde de la formation a été façonné par la quête constante de l’excellence et de l’autonomie professionnelle. Mon centre de formation, que je considère comme un laboratoire d’idées novatrices, s’est érigé en un lieu où les individus peuvent libérer tout leur potentiel.
Dénoncer le Scandale du CPF :
Aujourd’hui, je souhaite mettre en lumière un aspect troublant du CPF, qui, bien que présenté comme minime dans le grand plan gouvernemental, constitue une charge financière considérable pour ceux qui aspirent à se former. Cette contribution de 10 %, dévoilée sans étude d’impact préalable, nécessite une attention urgente.
Un Appel à l’Action : Je lance un appel passionné à la réforme. Cette contribution, en apparence mineure, crée des barrières financières pour ceux qui cherchent à investir dans leur développement professionnel. Les demandeurs d’emploi ne devraient pas être les seuls à ne pas financer cette part, l’ensemble des concitoyens sont déjà confrontés à des défis, ne devraient pas être pénalisés dans leur quête d’amélioration.
Éduquer pour libérer : En tant que défenseur de l’éducation accessible, je m’engage à sensibiliser sur cette question cruciale. Les barrières financières ne doivent pas entraver l’accès à la formation. Cet article vise à éclairer et à mobiliser, car je crois fermement en une éducation qui libère plutôt qu’elle n’emprisonne.
Conclusion : En tant que responsable d’un centre de formation, je m’engage à faire entendre ma voix contre l’injustice du CPF. Rejoignez-nous dans cette quête pour une éducation accessible, équitable, et libératrice pour tous.
Marion KEMPS HOUVER
Chargée de Mission Franche – Comté