Au printemps dernier, lors de la campagne du référendum sur la collectivité unique d’Alsace, Nicolas Dupont-Aignan était parmi les seules personnalités politiques à soutenir une position qui allait à l’encontre de la classe politique établie, nationale et locale, et de la plupart des médias. Le 4 Mars 2013 à Strasbourg, il défendait alors l’unité de la Nation face aux nouvelles féodalités locales et prônait une décentralisation équilibrée face au démembrement programmé de la France. C’est donc tout naturellement que DLR et lui-même ont décidé d’apporter leur soutien à «Touche pas à mon référendum » face à la volonté des députés qui veulent une nouvelle fois fouler au pied la souveraineté populaire.
En effet, Debout la République ne peut tolérer, dans un souci d’exemplarité démocratique, que des représentants aillent à l’encontre de ceux qui les ont mandatés. De plus, si aujourd’hui cela semble concerner uniquement les Alsaciens, demain ce seront sans aucun doute la Savoie, la Bretagne ou la Corse qui se verront modeler à leur guise par des politiciens qui s’empresseront d’éloigner ces territoires de la République. Dans la longue histoire de notre pays, ce n’est pas la première fois que l’on tente de bâillonner la démocratie, et ce n’est sans doute pas la dernière tentative. Néanmoins à chaque fois notre peuple a su défendre et préserver les acquis fondamentaux de la République et de la démocratie.
DLR s'est engagé imméfiatement aux côtés du collectif "Touche pas à mon référendum" pour faire barrage à ceux qui tentent de détourner la voix du peuple comme ils l'ont déja fait pour le référendum de 2005. Le collectif vient de mettre en place de nouveaux moyens de communication. Pour particper à leur campagne, contactez Nicolas Chevalier-Roch par courriel : [email protected]
Cliquez ici pour signer la pétition
Tract "Touche pas à mon référendum"
Pages extérieures du tract "Touche pas à mon référendum"
Pages intérieures du tract "Touche pas à mon référendum"
Affiche "Touche pas à mon référendum"
Témoignage de Nicolas Chevalier-Roch
Le 22 Juillet dernier, l’Assemblée Nationale votait dans une indifférence générale la fin de l’obligation de tenir un référendum lors d’un projet de fusion entre plusieurs collectivités. Le collectif « Touche pas à mon référendum » s’est depuis efforcé d’alerter, non sans un certain succès et malgré la période estivale, à travers notamment une pétition, l’opinion publique sur cette loi qui risque d’être un clou de plus dans le cercueil de notre démocratie.
Toutefois, et à l’approche du vote au Sénat, nous avons décidé de peser davantage dans la bataille de l’opinion en prévoyant de mener plusieurs actions sur le terrain. Tracts, affiches, réunions publiques et rassemblements citoyens, à travers tout le territoire, pour convaincre sénateurs, médias et citoyens, notre mouvement passe désormais de l’information à l’action ! Une pétition papier sera également créée en vue d’élargir notre audience. En ces temps de crise économique et morale profonde, nous invitons tous les Français à se retrouver et à se rassembler pour défendre notre bien le plus précieux : notre Démocratie ! Face à une classe politique qui se coupe de plus en plus du peuple, il faut conserver, coûte que coûte, le droit pour ce dernier de pouvoir s’exprimer sur les choix et les orientations qui engagent son avenir, tant au point de vue national qu’au point de vue local.
Je tiens à rappeler que ce mouvement est citoyen et que sa démarche dépasse les clivages politiques traditionnels. D’autres collectifs citoyens ont d’ores et déjà rejoins « Touche pas à mon référendum » en soutenant notre action, notamment la FFI 2.0 qui s’est distingué par ses actions militantes de hautes tenues, préfigurant peut-être ainsi un nouveau Conseil National de la Résistance. Vous pouvez retrouver leur tract en cliquant ici. Sachez que vos signatures sont autant de boucliers pour notre République et notre souveraineté, et que de cette lutte dépend l’avenir démocratique de la France.
Nicolas Chevalier-Roch
Secrétaire départemental DLR du Haut-Rhin
Porte-parole du collectif "J'aime l'Alsace, je vote Non"