De tragiques évènements récents dans le monde du sport m’interpellent et me font réagir ; il s’agit du décès brutal d’un arbitre français de football de 42 ans, forcément en bonne santé et suivi médicalement, précédé quelques jours avant de celui d’un jeune rugbyman de 19 ans.
Bien d’autres cas de décès brutaux pendant l’entraînement ou à la fin d’une course ont été rapportés chez des sportifs, mais aussi de nombreux cas rapportés autour de nous, dans nos familles et amis, de tous âges et ce qui interpelle, sans antécédents cardiaques.
Pendant que j’écris cet article, je reçois un message d’un ami qui vient de perdre son beau-frère brutalement ; j’ai eu aussi le témoignage hier par son collègue de travail d’une dame de 53 ans décédée dans son sommeil.
J’écoute tous ces témoignages et les réactions sont peu nombreuses autour de moi pour s’en émouvoir ; les familles endeuillées ne se posent pas la question de la cause, étant dans leur douleur brutale; il n’y a bien sûr pas d’autopsie demandée .
Particulièrement sensibilisée au sujet, je reçois des témoignages sur ces cas de mort subite, et bien sûr aussi sur toutes sortes d’effets indésirables suite aux vaccins.
Attention, loin de moi l’idée d’affirmer que ces décès sont directement liés aux vaccins, ce ne serait pas une démarche scientifique ; cependant, je pense qu’on est en droit de se poser la question.
Je dirais même le devoir en tant que médecin de tirer la sonnette d’alarme.
Le site de l’INSEE qui publie les chiffres de mortalité quotidienne montre bien une surmortalité inquiétante chez les jeunes ces derniers mois en France mais aussi dans beaucoup d’autres pays :
« Du 1er janvier au 17 octobre 2022, 521 962 décès, toutes causes confondues, sont enregistrés en France à la date du 28 octobre 2022, soit 7,9 % de plus qu’en 2019 (+ 38 347 décès). Ce nombre est toutefois encore provisoire » INSEE
Les données en France sont très inquiétantes : plus de décès en 2022 qu’en 2021, beaucoup plus qu’en 2019 et les années précédentes .Chacun de nous peut aller vérifier les chiffres :
https://www.insee.fr/fr/accueil
https://drees.solidarites-sante.gouv.fr
https://ansm.sante.fr qui fait état de 25 % d’effets indésirables graves.
Mais aussi au niveau européen :
http://eudravigilance.ema.europa.eu
https://www.euromomo.eu/graphs-and-maps
Et aux USA :
https://vaers.hhs.gov/
Quand des médias nous donnent ces chiffres alarmants, dès le titre, ils nous orientent vers des pistes, comme la canicule ou la maladie Covid ; or il s’agit de jeunes donc des personnes qui ne meurent pas de canicule et ne font pas de formes graves de Covid.
Voir : courrier picard du lundi 10 octobre 2022 : « canicule, Covid : 2022, un été meurtrier »
On connait la mort subite de l’adulte ; cela a toujours existé : il y aurait environ 50 000 morts subites par an en France, le plus souvent des patients porteurs d’une pathologie cardiaque connue ; dans 40 % des cas, ces personnes, même jeunes, ont eu des symptômes avant le drame ; mais là, il s’agit de jeunes sans aucun symptôme avant coureur et dont l’état cardiaque est régulièrement vérifié.
Urgence de connaître le statut vaccinal des personnes décédées :
Avec les données à disposition actuellement, le statut vaccinal des personnes décédées n’est pas connu. Il est ainsi impossible de conclure à une causalité ou non entre le nombre de décès et le nombre de vaccins administrés dans cette population.
Il ne s’agit alors pas d’une preuve définitive de causalité, mais d’un signal d’alarme qui vient appuyer les remontées de pharmacovigilance.
Il est donc nécessaire et urgent que le ministère de la Santé fournisse les données des décès par statut vaccinal.
Il sera alors possible pour chaque tranche d’âge de savoir s’il y a une différence significative entre vaccinés et non-vaccinés, ce que le gouvernement se refuse à faire, malgré les demandes et les pétitions.
C’est pourtant le seul moyen soit de mettre en évidence cet effet dramatique du vaccin et d’agir rapidement ou au contraire de l’innocenter et par là-même de rassurer nos concitoyens et de couper court aux supputations.
Nicolas Dupont Aignan demande depuis longtemps une commission d’enquête parlementaire sur l’analyse des effets secondaires des injections.
Nous insistons auprès des victimes et de leur famille à faire une déclaration d’effet indésirable : (sur internet : déclaration d’effet indésirable de médicament /vaccin) ; et à demander une autopsie pour tout décès « sans cause ».
Nous demandons d’urgence une enquête sur la surmortalité enregistrée en 2022 et pour cela nous demandons de connaître le statut vaccinal des personnes décédées.
En attendant ces résultats, il nous parait vital de déclencher le principe de précaution.
Véronique ROGEZ
Vice-Présidente
Déléguée Nationale à la Santé