Un petit groupe d’individus sans scrupule, a décidé de quitter notre mouvement pour soutenir Marine Le Pen.
Libre à eux.
Mais leur mission apparaît aujourd’hui dans toute sa bassesse : détruire notre mouvement et salir mon image.
Aujourd’hui, un article de presse dans le journal Libération, inspiré par eux, veut faire croire que j’aurais manqué à mes obligations de contribution aux finances du parti, prévues dans les statuts (les élus doivent verser 10% de leurs indemnités au mouvement).
Dans les faits, cette accusation est totalement mensongère puisque, outre ma part parlementaire de financement public qui représente la somme de 34.000 euros par an, j’ai bien versé, sur une longue période 10% de mes indemnités en dons politiques (2017 : 7500€, 2018 : 7000€, 2019 : 2750€ et 2020 : 6500€).
Mes dons, comme ceux des autres élus, ont été imputés par le comptable dans la ligne budgétaire « dons des personnes physiques » et non dans la ligne « cotisations des élus ». Contrairement à ce que veut insinuer Libération, cela ne change strictement rien en matière de déduction fiscale.
Tous les versements, qu’ils s’appellent « cotisations » ou « dons », donnent lieu à une réduction d’impôts sur le revenu de 66%.
Par ailleurs je précise qu’à la différence d’autres chefs de parti, je mène ma fonction de Président de Debout la France complètement bénévolement : je ne reçois aucune indemnité à ce titre.
Cette information calomnieuse participe d’un plan global, sans doute préparé à l’avance, pour nuire à ma candidature présidentielle, qui concurrence de plus en plus sérieusement celle de Marine Le Pen, ou du futur candidat républicain.
C’est quand même un comble que des personnes qui rejoignent un parti en faillite avec de multiples casseroles judicaires se permettent de me donner des leçons, alors que la Commission Nationale des Comptes de Campagne (CNCCFP) a toujours approuvé, depuis sa création en 1999, les comptes de Debout la France et les comptes des campagnes électorales que j’ai menées, ce qui n’est pas si fréquent dans la politique française.
Les méthodes de barbouzes ne m’intimideront pas et me renforcent encore plus dans ma détermination à mener mon action politique dans l’honneur et la droiture.
Nicolas DUPONT-AIGNAN
Président de Debout la France
Député de l’Essonne