Le gouvernement vient d’annoncer une énième hausse du chômage en France pour le mois de février, portant à 0,5% toute catégorie l’augmentation du nombre de chômeurs dans notre pays, soit 4,28 millions de personnes. Nicolas Sarkozy qui se voulait le président de l’augmentation du pouvoir d’achat n’aura finalement fait progresser en 5 ans que le nombre de chômeurs dans notre pays. Son quinquennat comme il avait commencé, c'est à dire dans le décalage le plus total entre les discours et la réalité.
La politique de récession cumulative que mènent nos dirigeants européens, dans l’espoir de rester dans les clous imposés par ce système financier fou conduit nos compatriotes à subir un chômage de masse dévastateur.
Nicolas Sarkozy, François Hollande, ou François Bayrou qui ont tant vanté la rigueur et qui se livrent à des concours d’austérité ne comprennent pas que seule une politique visant à relancer la croissance permettra de créer de nouveaux emplois.
Car nous ne gagnerons cette guerre contre le chômage qu’en redonnant à nos entreprises la capacité d’investir en France. C’est en restaurant la compétitivité de l’échange par des mesures protectionnistes et la fin de l’euro cher, mais aussi une diminution de moitié de l’impôt sur les sociétés pour les bénéfices réinvestis sur le sol français pour les entreprises de moins de 500 salariés que nous permettrons le retour de la croissance et des emplois dont nos compatriotes ont tant besoin.
Nicolas Dupont-Aignan,
Député de l’Essonne et candidat à la présidence de la République
PARIS, 26 mars 2012 (AFP) – Réactions politiques à la hausse du chômage qui a progressé en février de 0,2% pour atteindre 2,867 millions de personnes, soit 6.200 de plus qu'en janvier, selon le ministère du travail.
En incluant ceux qui exercent une activité réduite, 4,278 millions de demandeurs d'emploi au total cherchaient un travail, soit une hausse de 20.400 personnes (+0,5%), selon ces chiffres de la Dares.
– Nicolas Dupont-Aignan, candidat de Debout la République: "Nicolas Sarkozy, qui se voulait le président de l'augmentation du pouvoir d'achat, n'aura finalement fait progresser en 5 ans que le nombre de chômeurs dans notre pays. (…) Il finit donc son quinquennat comme il l'avait commencé, c'est-à-dire dans le décalage le plus total entre les discours et la réalité. La politique de récession cumulative que mènent nos dirigeants européens, dans l'espoir de rester dans les clous imposés par ce système financier fou, conduit nos compatriotes à subir un chômage de masse dévastateur. Nous ne gagnerons cette guerre contre le chômage qu'en redonnant à nos entreprises la capacité d'investir en France"