En ce mois de redémarrage de la vaccination Covid, et des rappels avec les nouveaux vaccins bivalents, il nous parait utile de parler du principe de précaution.
Définition du principe de précaution :
Le principe de précaution a pour but de mettre en place des mesures pour prévenir des risques, lorsque la science et les connaissances techniques ne sont pas à même de fournir des certitudes, principalement dans le domaine de l’environnement et de la santé.
C’est en 1992, lors de la Déclaration de Rio qu’il a été entériné, à l’issue de la 2ème Conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement . Il a été introduit dans la Constitution en 2005.
Compte tenu du champ très large de ce principe et de l’absence de définition précise, sa mise en œuvre est sujette à des interprétations contradictoires.
Qu’elle est la différence entre prévention et précaution ?
Alors que la prévention correspond à des risques connus pouvant être plus ou moins réduits, la précaution, sorte de prudence dans l’action, se situe dans un domaine où subsistent d’importantes incertitudes quant à l’existence et à l’ampleur d’un risque dont les effets pourraient être graves et irréversibles ; il s’agit d’éviter un mal ou d’en réduire les effets, avant qu’il ne soit trop tard.
Le principe suscite toujours des débats voire des oppositions : Il empêcherait l’innovation; il serait devenu un principe d’inaction ; il limiterait la liberté des individus et des entreprises ; il porterait atteinte aux échanges internationaux ; etc. À ce titre, la notion de « principe d’innovation », dénuée de base juridique malgré son nom, tente depuis peu de contourner le principe de précaution.
L’incertitude peut se transformer en peur, avec la tentation de céder à l’émotion et d’aboutir à des décisions absurdes ? Jusqu’où faut-il prendre des risques ? Pour faire du profit, le principe de précaution pouvant être un frein, un obstacle majeur aux affaires ?
Comment mêler science, éthique, innovation et principe de précaution ? Trouver un équilibre entre développement et remise en question.
Il faut s’en tenir à la mesure des faits.
Si on ne peut pas déterminer avec certitude qu’une substance, ou une activité est sûre, alors il faut l’arrêter ? La retirer du marché au moins provisoirement ? Pour protéger l’individu, l’environnement (agriculture, pesticides), la santé, et les générations futures.
Si on attend que tout soit démontré, il n’y a plus de principe de précaution.
Les certitudes arrivent parfois trop tard .
Qu’en est-il pour les vaccins Covid ?
Rappelons d’abord que ce ne sont pas des vaccins habituels, mais des injections géniques toujours en phase 3 d’expérimentation, avec une AMM (autorisation de mise sur le marché) conditionnelle jusqu’à ce jour . L’application de la précaution est justifiée dans un contexte d’incertitude scientifique, lorsque des preuves raisonnables indiquent que la situation pourrait générer des effets nocifs importants sur la santé, même lorsque les mécanismes causaux et les effets n’ont pas été démontrés scientifiquement à cause d’informations incomplètes, peu concluantes ou incertaines.
N’est-on pas dans ce cas avec ces injections ?
Par principe de précaution, on confine, on interdit l’Hydroxychloroquine et l’Ivermectine, on ferme des commerces, des écoles, on masque …mais on vaccine avec un produit encore expérimental ?
Pourquoi être sur précautionneux avec des molécules anciennes, avec du recul sur les effets secondaires, qui ne coûtent pas cher et qui sont efficaces (se référer aux nombreuses études sur le site de C19 Ivermectine et à l’expérience des médecins qui ont soigné leurs malades avec ces molécules) et pas avec ces injections ?
Car enfin, pour les médecins, PRIMUM NON NOCERE : d’abord ne pas nuire.
Beaucoup d’inconnus, beaucoup d’opacités dans les contrats, des consentements qui sont loin d’être tous libres et éclairés.
Ecoutons les médecins parler de pathologies chronologiquement apparues suite aux injections.
Statistiquement, on sait que seuls 5 à 10 % des effets secondaires sont déclarés.
Personnellement, en tant que médecin, il ne se passe pas un jour sans qu’on me parle d’infarctus, d’embolies pulmonaires, de morts in utéro, de morts subites chez des personnes encore jeunes et sans antécédent particulier, de maladies auto-immunes, de cancers foudroyants, de troubles du cycle menstruel, des myo- et péricardites chez des jeunes.
Les effets secondaires et les conséquences à long terme de ces injections deviennent de plus en plus évidents et méritent au moins qu’on s’interroge.
De plus, on sait que ces injections, contrairement à ce qu’on pouvait penser initialement, ne protègent ni de l’infection, ni de la réinfection, ni de la transmission, ni de la mort.
Il est légitime de se poser la question : sont-elles « sûres et efficaces » comme on nous l’assène depuis le début ?
L’ANSM rapporte 25 % d’effets indésirables graves ; l’INSEE sort des chiffres de mortalité inquiétants.
De nombreux signaux de sécurité devraient suffire à arrêter ou au moins suspendre le déploiement des vaccins ; nous ne pourrons pas dire que nous ne savions pas.
Le signalement et l’information sont une obligation légale.
Le « lanceur d’alerte » est protégé par une loi du 9 décembre 2016 renforcée par une loi du 21 mars 2022. Or, plusieurs professionnels de santé sont poursuivis pour avoir alerté sur les incertitudes relatives au bénéfice, au risque, à la composition de ces produits expérimentaux.
A l’ère de l’hyper-propagande mondiale, ne peut-on pas exercer notre discernement et récupérer nos esprits face à ces mensonges et ces incohérences qui s’accumulent et qui ne pourront plus rester cachés ?
Il y a encore beaucoup trop de questions restées sans réponse concernant l’innocuité, l’efficacité et la nécessité des vaccins Covid-19.
À Debout la France, avec Nicolas Dupont-Aignan, nous demandons l’application de ce PRINCIPE DE PRECAUTION concernant les vaccins Covid et donc la suspension de la vaccination massive pour toutes les personnes dont le bénéfice / risque n’est pas prouvé. Cela en attente de données scientifiques complémentaires sur l’efficacité et la sûreté de ces vaccins.
Nicolas Dupont-Aignan demande depuis longtemps avec insistance une commission d’enquête parlementaire sur les effets secondaires de ces injections.
Nous demandons aux victimes, familles de victimes, médecins, de se manifester avec courage auprès d’associations, collectifs ou de nous-mêmes pour que la Vérité puisse venir au jour.