Depuis le 22 Décembre 2021, la vaccination des 5-11 ans est possible, la HAS s’y est déclarée favorable.
Pour Jean Castex : vacciner les plus jeunes est une nécessité.
Mais seuls 2-3 % ont reçu une dose, 67 % des parents étant défavorables, il faut donc accélérer pour l’Etat.
Il faut rappeler que ce ne sont pas des vaccins classiques mais des injections géniques encore en phase 3 d’expérimentation. On ne peut donc pas les considérer sur le même plan que les vaccins que l’on fait aux enfants tous les jours et qui ont permis d’éradiquer des maladies graves d’enfants.
Pour toute vaccination, il faut évaluer le bénéfice et le risque, ce que ne fait pas le gouvernement dans sa vaccination de masse et faite en dehors des médecins généralistes.
Or si le Covid semble plus toucher les jeunes et les enfants depuis la vague Omicron, ils ne font que très rarement des formes graves.
Cependant Alain Fisher met en avant une forme grave de covid : le SIMS syndrome inflammatoire multisystémique pédiatrique qui envoie les enfants en hospitalisation et peut apparaitre plusieurs semaines après l’infection par le variant Delta ; cas terribles mais isolés ne justifiant pas une vaccination de masse.
Pour inciter à la vaccination et faire peur, les Académies des Sciences et de Médecine évoquent 9 décès covid depuis le début de l’année 2022 chez les moins de 10 ans ; elles attendent une immunité collective grâce à cette vaccination ; selon la SFP (société française de pédiatrie) il s’agit d’enfants infectés mais décédés d’autre chose ou avec de lourdes comorbidités.
Nous vivons depuis des millénaires avec des virus respiratoires qui tuent beaucoup plus que le Covid : la grippe par exemple qui tue enfants et adolescents ; or Omicron est moins grave que la grippe.
Le Pr CAUMES, chef du service des maladies infectieuses et tropicales à la Pitié Salpétrière, dit que « quasiment tous les enfants ont été en contact avec Omicron, et que le vaccin ne sert donc plus à rien ; ils s’immunisent naturellement ; pourquoi vouloir forcer les gens à se vacciner alors que l’immunité naturelle est plus efficace que le vaccin ?»
Et ce, avec un vaccin basé sur la souche initiale de Wuhan de 2019 qui n’a rien à voir avec le virus actuel ?
Quels bénéfices individuels ou collectifs ?
On donne aux parents 2 arguments pour faire vacciner leurs enfants :
- Freiner la transmission : la vaccination serait un geste altruiste pour protéger les plus faibles ; en effet, la population étant majoritairement vaccinée, si le virus n’a jamais autant circulé, c’est de la faute des enfants seule classe d’âge pas encore vaccinée ; la vaccination des enfants permettrait de participer à la réduction de la circulation du virus dans la population générale ; or, ce bénéfice n’est pas établi.
Et rien ne montre non plus que limiter la circulation du virus limite l’apparition de variants.
Les non-vaccinés et en particulier maintenant les parents qui refusent de faire vacciner leurs enfants sont culpabilisés et traités d’égoïstes ; car ils ont la chance d’avoir des doses et cela « gratuitement » ; s’ils ne le font pas pour eux, qu’ils le fassent pour les autres !
Ils seraient responsables d’un redémarrage des contaminations et même des déprogrammations dans les hôpitaux : ce qui est faux ; celles-ci étant dues à un manque de personnel soignant.
- Avoir une forme moins grave : or, les enfants ne font pas de formes graves (en dehors des quelques cas cités plus haut et des enfants à risque fort peu nombreux heureusement)
Pour ce qui est des risques de la vaccination, c’est simple, on ne les connait pas.
Les études de phase 3 de ces vaccins, toujours en cours pour les 12 -15 ans ne se termineront qu’en 2024.
L’article 40 du code de Déontologie précise : « le médecin doit s’interdire, dans les thérapeutiques qu’il prescrit, de faire courir au patient un risque injustifié »
Primum non nocere : d’abord ne pas nuire
Des effets secondaires graves ont été décrits ; il n’est pas éthique de faire courir des risques de complications graves (myocardiques, neurologiques, sur la fertilité, déclenchement de maladies auto-immunes) en vaccinant des enfants qui ont toute leur vie devant eux,ceci pour protéger des personnes âgées.
Au-delà de la balance bénéfice- risque qui n’est pas du tout favorable, ce qui me perturbe grandement,
C’est cette sorte d’inversion des valeurs qu’on fait subir à nos enfants : on met ce Covid dans le domaine de la morale, du bien et du mal, d’un altruisme qui n’existe pas ici et on cherche des coupables.
On leur fait porter des responsabilités qui ne sont pas les leurs : ils doivent donner leur consentement éclairé à la vaccination ! ( à 5 ans ! ) et le parent décide : le 6 Janvier, le Ministère de la santé avait imposé un accord écrit des 2 parents à la demande du Conseil d’Etat mais la règle change pour la seconde fois en trois semaines :
Cette vaccination ne nécessite plus que l’accord d’un seul parent pour permettre d’accélérer le rythme des injections jugé trop lent par l’Etat : décision scandaleuse du 26 janvier 2022, irresponsable et lourde de conséquences pour l’enfant qu’on va rendre responsable de la division de ses parents.
Sur le document du Ministère des solidarités et de la Santé, doit apparaître le Parent 1, mais le Parent 2 est facultatif !
Or, l’autorité parentale est un principe fondamental qu’on ne peut retirer et elle est conjointe (art 371-1 du code civil et art L1111-2 du code de santé publique)
De plus, la présence d’aucun parent n’est obligatoire lors de l’injection ! ce qui est très grave car l’enfant devient un objet en danger d’être manipulé et on peut donc lui injecter quelque chose dans le corps sans la présence de ces parents.
On rend les enfants responsables d’être dangereux pour les autres, de contaminer leurs grands- parents ; pour protéger les plus âgés, il faudrait mettre en danger les jeunes ?ils devraient pallier « au manque de civisme des adultes » qui ne veulent pas se faire vacciner ?
Le vaccin n’est plus pour se protéger d’une maladie comme il a toujours été mais pour sortir, faire du sport ou voyager ; pour la santé mentale de l’enfant nous dit le Pr FONTANET, membre du conseil scientifique : le seul bénéfice serait pour la santé mentale ? en vaccinant, on évite des fermetures de classe et on favorise donc l’équilibre et la réussite des enfants !
On fait du chantage à la liberté en échange d’une vaccination ce qui est indigne d’un soignant (diplôme à l’enfant, réductions ou bons cadeaux, propagande à l’école, faire croire à une sortie scolaire en bus vers le centre de vaccination). Tout cela n’est pas éthiquement, déontologiquement, judiciairement acceptable et n’a rien à voir avec un bénéfice médical à un geste médical qui devrait être géré par le médecin référent.
La santé des enfants ne se résume pas à des cas ou des rhumes, il nous faut les protéger, les rassurer, leur redonner leur place d’enfant, arrêter de les faire vivre dans la peur et la culpabilité, et de les mettre en danger.
La stratégie du tout vaccinal est une erreur ; il peut y avoir des problèmes avec la réponse immunitaire (maladies auto-immunes, zona , etc ) et j’en ai vus
La Suède ne recommande pas la vaccination des 5-11 ans
Et en France ?
Avec Nicolas Dupont-Aignan, arrêtons cette folie vaccinale de masse envers nos enfants que nous devons protéger.
Arrêtons de cautionner un sport à pass vaccinal, ce qui est un non-sens total et complètement délétère.
Stoppons ce pass vaccinal qui n’a aucune raison sanitaire, qui est une obligation déguisée de vaccination et qui empêche nos jeunes de se rendre dans des lieux de culture et de sport.
Nicolas Dupont-Aignan est le candidat des libertés retrouvées et de la protection des plus faibles, car nos enfants sont notre avenir et ces vaccins et ces restrictions iniques de liberté s’attaquent à nos enfants sur le plan médical, social, relationnel, psychologique et éthique.
Parents, ne vaccinez pas vos enfants !
Véronique Rogez
Déléguée Nationale à la Santé