Nous avions été alertés l’année dernière par le Collectif Navigants Libres sur leurs inquiétudes constatées sur l’état de santé de certains personnels navigants vaccinés. La presse a relayé plusieurs drames comme le décès d’une hôtesse de l’air, des malaises cardiaques de pilotes , des malaises nécessitant un déroutage ou un demi-tour ,des thromboses , des AVC ,des inaptitudes au vol chez certains pilotes ayant des anomalies cardiaques récentes, sans parler des femmes présentant des troubles du cycle qui peuvent s’avérer incompatibles avec un vol long courrier : Il est anormal qu’on propose à une hôtesse de l’air de subir une hystérectomie pour pouvoir continuer son travail !
De tels collectifs se sont crées aux USA, en Australie, au Canada, échangent entre eux et font les mêmes constats, malheureusement.
On peut se douter qu’il s’agit de personnels très suivis médicalement, jeunes et sans comorbidité, avec des bilans cardiaques réguliers, en très bonne santé – cœur, cerveau, yeux -et qui acceptent et encouragent d’habitude la vaccination.
Donc une population non à risque de Covid grave ; sachant que ce vaccin n’empêche pas la transmission, où était le bénéfice ? Or vacciner ce personnel est devenu même prioritaire.
La vaccination anti-covid n’était pas officiellement obligatoire mais le pass sanitaire l’était puis le pass vaccinal, avec des menaces de suspension.
On peut bien sûr comprendre que dans ces métiers où la sécurité est fondamentale, le risque doit être très proche de zéro et la DGAC protège les personnels navigants et surveille les traitements qui pourraient jouer sur la vigilance et la sécurité : antihistaminiques, anxiolytiques, etc ) , le copilote ne mange pas le même plateau repas que le pilote .
Alors, pourquoi aucun questionnement sur les effets secondaires potentiels ? Aucune étude menée par l’EASA (agence européenne de sécurité aérienne) ?
Le principe de précaution doit s’appliquer ; or quel est le bénéfice risque ? Le risque aérien tolérable n’est-il pas dépassé ?
Rappelons que ces injections sont des produits géniques qui étaient encore en cours d’expérimentation et pour lesquels on ne connaissait pas grand-chose ! Ce qui pose question quand on voit les précautions drastiques prises à juste titre par les compagnies pour la sécurité.
Après des mois d’omerta, vient de paraitre, dans la revue PILOTER du mois de Mars Avril 2024 un article édifiant intitulé : vaccin Covid et malaises en vol qui devrait avoir un impact énorme sur nos dirigeants et nos compatriotes. Qu’en sera-t-il ?
Cet article tire la sonnette d’alarme et relate les malaises de plusieurs pilotes et le rôle salvateur du co-pilote pour faire demi-tour ou faire un atterrissage d’urgence. Extrêmement rares jusqu’en 2020, ces incapacités brutales en vol semblent se multiplier depuis 2021, année du début de la vaccination, les évènements cardio-vasculaires étant favorisés par l’accélération au décollage, le stress et l’altitude.
Il est très difficile d’avoir les chiffres de déroutement, de connaitre l’état de santé des pilotes qui ne parlent pas spontanément de leur problème cardiaque récent et rechignent à signaler des douleurs thoraciques ou des palpitations de peur d’être interdits de vol ; très difficile aussi de prouver qu’il y a un lien ou non avec la vaccination, de prouver qu’il n’y a pas de risques avec cette injection.
Il est quand même étonnant qu’une surmortalité toutes causes confondues ait été observée dans les pays ayant beaucoup vacciné : l’INSEE s’en inquiète en juin 2023 : 53800 décès de plus qu’attendus en 2022 : une surmortalité plus élevée qu’en 2021 et 2020 (année du Covid ) . Il est facile de dire qu’il s’agit de malformations cardiaques chez les personnes mourant subitement, mais rappelons le justement, les pilotes (comme les sportifs de haut niveau) ont un suivi cardiaque régulier !
Les termes de complotistes, anti-vax, antiscience, avec lesquels on a affublé les lanceurs d’alerte , ne sont plus suffisants pour rassurer une population qui commence à ouvrir les yeux sur les effets secondaires constatés , ne serait-ce que dans leur entourage .
Merci à la revue PILOTER de rendre hommage aux médecins qui ont tenté de « faire et dire autrement » et qui le paient cher encore maintenant.
Certains pilotes méfiants ont refusé cette obligation vaccinale : ils ont été licenciés pour faute professionnelle grave, ou suspendus comme dans le milieu médical.
Des études ont été menées pour enquêter sur l’utilisation des déclarations d’urgence en vol par le code transpondeur 7700 : entre 2018 et 2019, la moyenne du recours à ce code représentait 30 % des autres codes de détresse. En 2022, les alertes 7700 ont augmenté de 272 % et entre 2022 et 2023 de 386 % ! Curieusement concomitant avec l’injection.
On sait que les effets secondaires de ces injections sont très largement sous-évalués et les professionnels de santé sont restés longtemps dans le déni (et le sont encore).
La FAA (fédéral aviation administration) a assoupli les règles médicales pour mieux tolérer certains troubles cardiaques en modifiant les seuils d’acceptabilité des ECG en tolérant un intervalle PR entre 2 ondes électriques du cœur plus longues de 50 % par rapport à avant. Cette astuce permet d’ignorer un des signes précoces d’atteinte cardiaque et de continuer à autoriser au vol des pilotes qui auraient été révoqués avant la crise Covid ..Ce qui pose question.
Les autorités françaises refusent toujours de communiquer les statistiques de la mortalité en fonction du statut vaccinal, comme le demande le Pr Toubiana et pourtant, les chiffres de la Nouvelle-Zélande et de la Grande-Bretagne sont connus et parlants …
Cette vaccination imposée aux pilotes est contraire aux règles de la FAA et de l’EASA selon lesquelles les pilotes ne sont pas autorisés à prendre des produits non complètements approuvés ou en phase d’expérimentation.
A noter que d’autres corporations ont lancé ce même cri d’alarme et nous ont alertés en notant des évènements médicaux récurrents, comme les pompiers, les gendarmes, professions où la sécurité est aussi fondamentale.
Nicolas Dupont-Aignan dénonce ces effets secondaires, est à l’écoute de ces corporations touchées et réclame depuis 3 ans maintenant une enquête parlementaire. Ce qui se passe sur ce sujet des effets indésirables de ces injections, d’abord dans un silence quasi absolu et qui arrive enfin au grand jour, sera toujours notre combat. Vous pouvez compter sur notre détermination.
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https://www.ecologie.gouv.fr/direction-generale-laviation-civile-dgac