Ces deux mots évocateurs de stations de métro ou de parcours contestataires, recouvrent deux concepts en grand danger.
La Nation française a perdu sa souveraineté ; elle n’est pas la seule.
L’international devient une bonne excuse au déshonneur : les KURDES en savent quelque chose; il faut se demander qui se cache derrière les instances internationales.
Donald Trump devrait pouvoir fournir la réponse.
Les gilets jaunes ont fait craindre une explosion mais le premier danger est le danger d’IMPLOSION.
L’UNION EUROPÉENNE et la mondialisation ont donné la préférence à la finance sur la démocratie. Les libéré-libertaires avec l’appui des médias bien-pensants poursuivent leur fuite en avant.
La NATION a du mal à résister à cette dissolution dans un espace financier sans autre gouvernance que celle des intérêts pécuniaires.
En 2006 Philippe de VILLIERS publiait LES MOSQUÉES DE ROISSY alertant sur l’infiltration des services de sécurité des Grands Aéroports :cela irait-il mieux avec la privatisation de ADP ? Certes non !
La transposition de cette alerte de 2006 sur la Préfecture de Police de PARIS est d’une actualité dramatique.
La RÉPUBLIQUE doit lutter contre toutes les formes de communautarisme et les tentatives insidieuses ne sauraient être prises à la légère.
Le voile est, sinon un symbole de soumission de la femme (curieux on n’entend guère les féministes) du moins un signe religieux ostensible.
Il n’y a pas si longtemps des Mairies ont été sommées de retirer les crèches de Noël au nom de la neutralité de l’Etat, et les vacances de Pâques se nomment désormais vacances de Printemps.
J’ignorais que l’Ecole de la République ne représentait pas l’Etat : or les sorties Scolaires sont des activités scolaires et non privées.
Il n’est absolument pas question de stigmatiser une Communauté mais il est hors de question que pour être agréable à cette Communauté la RÉPUBLIQUE se plie à ses états d’âme.
La NATION française a vécu suffisamment longtemps avec ses principes acceptés par (presque) tous et vivra longtemps encore suivant ses propres règles pour peu que les Français qui se disent patriotes s’en donnent les moyens.
François Kohn
Délégué national aux activités socio-professionnelles