Notre devise de la République est bien mise à mal depuis cette crise du Covid
Liberté :
Notre liberté d’aller et venir a été restreinte pendant les confinements où pour la première fois de toute l’histoire de l’humanité, on confine les personnes saines, on ferme des plages ou on empêche les gens de se promener en forêt !
Ce qui est complètement incohérent et contre- productif.
Atteinte à la liberté de prescrire des médecins sous peine de sanctions ! ce qui est aussi du jamais vu dans l’histoire de la médecine !
Aucune remise en questions de la part de l’Etat : les médecins n’ont plus le droit au chapitre ; ils sont sous le joug de la bureaucratie et des labos ; la médecine est utilisée pour dominer le monde de façon de plus en plus totalitaire ; or « la santé est un bien, ce n’est pas une valeur » nous dit le philosophe André Comte Sponville
Liberté de penser : endoctrinés par les médias qui instillent la peur à longueur de journée, les Français paralysés et sidérés étaient prêts pour ne plus penser qu’à une chose : se faire vacciner par ce produit (qui n’est pas un vaccin) miracle qui va tout résoudre et faire revenir à « la vie d’avant ».
Oui, la vie d’avant quand on doit être contrôlé par des agents de sécurité pour boire un café en terrasse ? quand l’hôpital investit plus en agents de sécurité qu’en personnel soignant pour contrôler son propre personnel et les patients qui vont se faire soigner ? quand un jeune qui ne risque rien du Covid est obligé de recevoir cette injection pour jouer au foot dehors ? ou quand celui qui est vacciné peut entrer et est parqué quand l’autre reste dehors à l’extérieur des barrières ?
Présentée comme non-obligatoire la campagne de vaccination est organisée pour avoir à l’usure -avec un pass sanitaire comme récompense -des populations apeurées et pourtant sensées donner leur consentement libre et éclairé, dans les larmes bien souvent.
La liberté va de pair avec la Vérité : or nos dirigeants ont menti délibérément depuis le début et ont donné des « vérités » contradictoires ; le mensonge et les conflits d’intérêts ont prévalu ; l’esprit de puissance, la soif de profit et de pouvoir ont pris le pas sur des valeurs fondamentales humaines ;cela va jusqu’à cacher les effets secondaires des vaccins .
Oui beaucoup de Français croient que la liberté est dans cette soumission, dans ce contrôle permanent et dans cet autoritarisme « pour leur bien » ; l’inversion des valeurs est totale ….
Egalité :
« Tous les hommes naissent égaux en droit et en dignité ; ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité » Déclaration des droits de l’homme
Mais bien sûr, nous ne sommes pas égaux physiquement, intellectuellement, psychologiquement. Ces différences sont aussi nos richesses .
La crise a aggravé ces différences, a révélé la mauvaise santé des Français puisque plus de 20 millions sont des personnes à risque , le confinement a aggravé la sédentarité , le stress et la peur ont touché les plus fragiles d’entre nous psychologiquement ; les enfants en particulier .
La crise a montré la mauvaise santé de la médecine et de nos hôpitaux avec la fermeture encore en 2020 de plus de 5700 lits, avec la mise à pied de nombreux professionnels de santé sans raison sanitaire valable et avec une grande violence, avec les conditions de travail de plus en plus difficiles de ceux qui restent ;
Le confinement n’a pas été difficile de façon égale pour tout le monde ; on voit bien que dans un immeuble avec du bruit et peu d’espace, la difficulté n’était pas la même que dans une maison à la campagne !
Et la crise a eu bien sûr des conséquences économiques avec une augmentation de la pauvreté.
Non, nous ne sommes pas égaux devant le virus ! c’est pourquoi il fallait faire une politique de vaccination ciblée en priorisant les personnes à risque et non en faisant courir un risque démesuré à nos enfants innocents.
Développer notre système immunitaire qui protège naturellement contre les virus et le renforcer avec la vitamine D,C, le zinc ;
Et plus largement, lutter contre les inégalités avec une médecine écologique de la personne et de la vie et en prenant en main sa santé et s’attaquer enfin aux vrais problèmes de santé publique (diabète, obésité ..)
Fraternité :
Nous sommes des êtres de relation ..
Pour gagner la guerre, il faut un pays rassemblé et non divisé ; un pays uni et apaisé et qui peut faire confiance à ses décideurs.
Or que constate-t-on ? on se méfie les uns des autres, on vit dans la peur que l’autre nous contamine, chacun devient une menace pour l’autre ; on nous isole les uns des autres ; la solitude et les troubles psychologiques ont explosé .
Est-ce vraiment cette déshumanisation que nous souhaitons ?
La distanciation, les gestes barrière, le masque sont un moindre mal mais contre nature ; a-t-on même réfléchi à la signification même des mots en parlant de relation humaine ? barrière! distance ! visage anonyme ne laissant plus passer les émotions ! un visage dissimulé n’en est plus un et masquer les enfants est délétère .
Des mots très violents sont utilisés pendant cette crise : sanctions, menaces, contrôle, intimidations, interdictions, justification …ces mots ne font pas partie de mon vocabulaire médical, ni humain.
Il est pour moi impossible d’entendre : « on va vous serrer la vis » ou « les vaccinés ont le droit de vivre » ou encore « comment de débarrasser des non-vaccinés » ?
Les voix discordantes ont été priées de se taire et avec une grande violence et surtout sans aucune possibilité de s’expliquer ni de se défendre.
Se débarrasser de soignants de cette façon, en période de grande pénurie est grave, très grave et bien sûr jamais vu ; devant une majorité de Français qui ne réagit même plus à des actes aussi odieux et, envoûtés par la pensée unique, vont même jusqu’à accuser les soignants d’être dangereux ou irresponsables.
La vie est communication ; survivre ne suffit pas pour vivre, la seule survie sanitaire ne peut durer ; c’est la vie relationnelle qui fait que nous sommes vivants ; dans cette crise, cette médecine ultra-scientiste en arrive à l’oubli de l’homme et la négation de la mort.
La maltraitance des patients prend sa source dans la maltraitance des soignants : comment faire une toilette en dix minutes ? comment prendre soin de l’autre avec bienveillance ? on sait soigner mais sait-on prendre soin ?
La vie humaine et le soin des personnes doivent passer avant les rouages du système de cette médecine de plus en plus technicienne et désincarnée ; cet enjeu collectif du bien commun doit passer en premier.
Les réponses étatiques inappropriées autoritaires et scientistes vont à l’encontre de la fraternité.
Les soignants qui arrêtent l’ont bien compris ils ne veulent pas suivre le courant qui nous noie dans le système, de cette médecine désincarnée qui veut conditionner nos rapports humains ; ils sont dans une résistance non-violente mais ferme dans la vérité : on est bien loin de l’anti-vax !
A Debout la France, avec Nicolas Dupont-Aignan, nous voulons réveiller les Français, leur dire « n’ayez pas peur » de ceux qui utilisent le virus pour endormir les consciences et diviser.
Au contraire, Nicolas Dupont-Aignan porte un discours d’unité, de rassemblement, de sens du bien commun dans un respect de la personne humaine.
Il veut rassembler les Français plutôt que les monter les uns contre les autres.
Il a un discours de gestion de crise qui n’a pas changé depuis janvier 2020 et qui laisse sa véritable place au médecin traitant et au bon sens des Français.
Debout la France !
Véronique Rogez
Déléguée Nationale à la Santé