Il y a juste un mois, je tirais la sonnette d’alarme dans une tribune alertant sur le recul gouvernemental concernant l’accès au compte personnel de formation (CPF).
Dernièrement, cette régression a été exacerbée par une annonce gouvernementale instituant un reste à charge de 100 euros pour les formations financées via le CPF. Cette somme, bien que modique en apparence, n’est en réalité qu’un nouveau fardeau pour les salariés, dans un contexte paradoxal où le ministre de l’Économie Bruno Le Maire emprunte à taux variable et souligne en même temps la nécessité de réaliser des économies budgétaires de l’ordre de 20 milliards d’euros.
Chez Debout la France, nous restons fermes sur notre position souverainiste, alignée sur les principes prônés par Nicolas Dupont-Aignan. Nous militons pour une cessation immédiate des envois d’armements à l’Ukraine, préconisant une politique de neutralité active et un engagement ferme pour un traité de paix.
Les détails de ce plan de paix peuvent être retrouvés sur la chaîne YouTube de Nicolas Dupont-Aignan, spécifiquement dans cette vidéo qui expose nos positions : https://www.youtube.com/watch?v=Z7AR5mHeK4E.
Plutôt que d’affaiblir la formation professionnelle des Français, il serait judicieux de reconsidérer les dépenses contestables au niveau national et européen, de cesser les prêts à taux variables et de lutter contre les diverses formes de fraudes qui saignent nos finances publiques. Comme détaillé dans le livre de Nicolas Dupont-Aignan “Où va le pognon ?” qui explique comment récupérer 100 milliards d’euros par an de fraude et de gaspillage :
Bien qu’il puisse exister des abus, il est absurde de demander aux classes moyennes, déjà éprouvées, de supporter le coût de formations professionnelles dans un marché du travail qui évolue rapidement avec les avancées technologiques telles que l’intelligence artificielle. L’impact de cette décision gouvernementale ne se limite pas seulement à une injustice financière ; elle risque également de dissuader une majorité d’employés et d’ouvriers, qui représentent 70 % des bénéficiaires du CPF, de poursuivre leur développement professionnel.
Nous, à Debout la France, nous engageons à combattre pour annuler cette charge inacceptable. Nous proposons de revoir complètement cette mesure et de réaffecter les fonds à travers des politiques plus judicieuses qui garantissent l’investissement dans le capital humain sans alourdir financièrement nos compatriotes. Il est temps de redéfinir nos priorités et de mettre en place une gestion plus rigoureuse et réfléchie des ressources publiques.
Ce mercredi 1er mai, je réitère notre engagement à défendre un accès équitable et généralisé à la formation, refusant que celle-ci devienne un luxe inaccessible. Debout la France se mobilise pour garantir que le CPF demeure un outil vital pour l’amélioration des compétences des Français, sans représenter une contrainte économique supplémentaire.
Retrouvez nos propositions pour la formation professionnelle et l’enseignement supérieur sur notre site.
Rétablissons la justice et l’équité dans l’accès à la formation.
Sources : https://www.europe1.fr/economie/budget-au-moins-20-milliards-deuros-deconomies-a-trouver-4234561
https://www.unsa.org/Formation-professionnelle-l-accompagnement-reste-le-parent-pauvre.html
https://www.debout-la-france.fr/projet/enseignement-superieur/