Les chiffres du gouvernement nous apprennent que parmi les femmes de 18 à 74 ans, 217 000 d’entre elles sont victimes
chaque année de viol ou tentative de viol.
Sont exclus de ces chiffres les viols au sein d’une collectivité.
Il est regrettable de n’avoir aucune indication concernant les mineurs –voir même des fillettes- et des personnes
de plus de 74 ans victimes de ce fléau. L’actualité récente nous a appris le viol d’une femme de 82 ans
A son domicile par un cambrioleur sous OQTF et le criminologue Xavier RAUFER rappelle que leur multiplication est nouvelle.
Plus étonnant encore, seulement 6 % des victimes porteraient plainte sachant que 80 % des plaintes sont classées sans suite
selon le Haut Conseil à l’Egalité et ce malgré des dossiers contenant des preuves qui devraient entrainer poursuites et condamnations.
En France, le fait d’être non consentante à une activité sexuelle ne suffit pas à caractériser le viol.
Seuls les actes commis par « violence, contrainte, menace ou surprise » sont considérés comme tels.
Il est urgent de redéfinir pénalement le viol en France.
Un collectif d’avocates réclame d’ailleurs une modification du code pénal.
DEBOUT LA France a toujours été en première ligne contre toutes violences faites aux femmes.
La ville de YERRES, sur décision de son maire de l’époque Nicolas DUPONT-AIGNAN, met des appartements
à disposition des femmes et de leurs enfants victimes de violence conjugales.