Avec la pseudo-pandémie COVID (déclassée comme tel par l’OMS en janvier de cette année), nous avons assisté aux grandes manœuvres de l’industrie pharmaceutique mondiale, essentiellement nord-américaine. Il n’est pas inutile d’en récapituler les principales étapes car elles permettent de comprendre ce qui va se passer prochainement :
- Mise en évidence d’une maladie susceptible de frapper durement la population (existante ou fabriquée en laboratoire…),
- Instauration d’un climat d’angoisse, pour ne pas dire de terreur, par la diffusion dans tous les médias d’études de « simulation » annonçant des millions de morts à brève échéance,
- Mise en place d’un système coercitif (destinée notamment aux médecins) pour interdire toute prescription médicamenteuse classique (par exemple l’hydroxychloroquine),
- Du coup, obtention en urgence d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) exceptionnelle de « vaccins » aux effets secondaires inconnus.
Dans le cas du COVID, le « vaccin » est en fait un médicament reposant sur le concept de la thérapie génique (concept au demeurant assez ancien et source de nombreux déboires thérapeutiques). Tout a été fait pour obliger la population à se faire injecter – certains ont perdu définitivement leur travail pour avoir osé s’y opposer, dans l’indifférence quasi générale de leurs syndicats dits représentatifs. Malgré l’évidente inefficacité de ces produits (on est loin du « tous vaccinés-tous protégés » qui alimentait tous les médias), force est de constater qu’aujourd’hui encore une partie de la population continue d’aller chez son médecin ou son pharmacien pour bénéficier d’une injection tous les 3 mois…
Echec thérapeutique (sans tenir compte des innombrables effets secondaires plus ou moins ignorés par les instances officielles), mais succès médiatique et incontestable succès financier pour les Big Pharmas. A la date du 7 mars 2023, près de 160 millions de doses ont été injectées à la population française (source Johns Hopkins Institute), générant de substantiels bénéfices.
Pour l’industrie pharmaceutique, jusqu’à présent, la recherche du profit maximum n’était pas si simple : attendre que les individus soient malades pour leur fournir des médicaments à visée curative est assez aléatoire sur le plan comptable… On risque de se retrouver avec des stocks d’invendus en l’absence d’évolution des pathologies. De plus, les molécules les plus prescrites sont désormais fabriquées à un coût souvent dérisoire en Inde ou en Chine dès que les brevets passent dans le domaine public. Il ne faut pas s’étonner si on constate des défauts d’approvisionnement pour un nombre croissant de molécules : elles ne sont tout simplement plus rentables !
L’expérience tirée de l’épisode COVID a conforté l’idée qu’il fallait attaquer le marché des bien portants. Suivant en cela le célèbre Docteur Knock, la stratégie de communication vise désormais à faire admettre à tout individu bien portant qu’il est en grand danger de maladie. Pour qu’il accepte toute forme de « vaccin » (vrai ou faux) susceptible de l’en prémunir. La mainmise sur les médias permet d’entretenir la peur et d’obtenir l’adhésion de la population. Le prix moyen d’un vaccin peut paraître modéré mais il est quand même plus cher qu’une gélule d’antibiotique et surtout, il peut être vendu à des centaines de millions d’exemplaires ! De plus, les injections proposées n’ayant qu’un effet temporaire, on ouvre la voie à une stratégie d’abonnement vaccinal, du même type qu’un abonnement téléphonique. La différence avec le smartphone (qui d’ailleurs servira à pister les récalcitrants), c’est que ce n’est pas l’individu qui sort directement l’argent de son portefeuille, mais la collectivité. Car bien sûr les Big Pharmas n’ont aucune difficulté à obtenir des responsables politiques qu’ils décident la « gratuité » de ces produits, sous la pression de l’opinion publique et sans doute aussi en échange de quelques avantages…
C’est en fait une vaste opération de détournement de l’argent public qui se met en place. Ou plutôt qui continue car on sait que depuis janvier 2018, ce ne sont pas moins de 11 vaccins qui sont proposés à nos nouveau-nés ! Certains d’entre eux ayant clairement un intérêt nul voire négatif en termes de rapport bénéfice/risques.
Le dernier épisode en date concerne le vaccin anti-HPV (Gardasil) qui fait l’objet actuellement d’une intense campagne de promotion. Il est connu comme étant assez souvent retrouvé en cas de cancer du col de l’utérus. Le problème c’est que le lien de causalité n’a jamais pu être démontré. Dans les pays où cette vaccination a été mise en place depuis plusieurs années, il n’a jamais été constaté de diminution de l’incidence de ces cancers. Et même l’ANSM admet une « légère » augmentation du risque de maladie de Guillain Barré suite à ces injections.
On peut s’attendre à d’autres épisodes de ce type car aucun média n’ose aborder le vrai problème, à savoir quel est le rapport bénéfice/risque des tous ces vaccins. Et ce n’est pas pour demain car cela suppose de longues et coûteuses études comparant deux populations homogènes (vaccinés versus non-vaccinés) sur plusieurs années. Comme l’essentiel de la recherche médicale est aujourd’hui financée par l’industrie pharmaceutique, peu de chances que cela se fasse. Et même si certaines études peuvent se mettre en place, l’accès aux médias mainstream leur sera vraisemblablement refusé et les résultats resteront dans les placards. Sans parler des mesures de rétorsion vis-à-vis d’équipes de recherche trop audacieuses qui risquent de se voir privées de tout financement.
Grâce à cette stratégie, l’avenir des Big Pharmas s’annonce radieux ! Pas sûr qu’il en soit de même pour notre santé.
Franck BOUTAULT
Secrétaire départemental – Haute-Garonne
Chargé de Mission – Midi-Pyrénées