Dimanche les Alsaciens ont rejetté le référendum que leur présentaient les tenants du système UMPS. Le gouvernement et les barons locaux menés par M. Richert ont été renvoyés dans les cordes par les électeurs alsaciens.
DLR se félicite de cette victoire de la République contre ses fossoyeurs. Pendant des semaines DLR a mené une campagne de terrain intensive dans laquelle ses militants n'ont pas ménagé leur efforts. Dimanche soir ils ont appris les résultats avec la fierté de ceux qui ont combattu contre un système politico-médiatique entièrement dévoué au Oui. A bien des égards cette victoire des Alsaciens rappelle la victoire des Français au référendum sur le traité européen en 2005.
Bravo à tous les militants de DLR et au collectif "J'aime l'Alsace, je vote Non" emmené par Nicolas Chevalier-Roch !
Pour découvrir le communiqué de Nicolas Dupont-Aignan "Vous n'aurez pas l'Alsace" cliquez ici. Par ailleurs vous pouvez revivre la campagne de DLR en Alsace en cliquant ici.
Au coeur de la victoire du Non avec DLR Alsace
Avec les militants et sympathisants de Debout La République en Alsace, nous avons été dans les premiers à exprimer notre opposition au projet de Collectivité Territoriale d’Alsace. Une opposition loin d’être politicienne et opportuniste dénonçaient de réels travers, comme en atteste l’ouvrage « J’aime l’Alsace, je vote NON ! » publié en février et préfacé par Nicolas Dupont-Aignan. Nous avons aussi été parmi les forces les plus actives sur le terrain, que ce soit dans le Haut-Rhin ou dans le Bas-Rhin.
Raison pour laquelle dimanche soir à l’annonce des résultats et du choix des Alsaciens de refuser ce projet – ayant obtenu la quasi-unanimité de la classe politico-médiatique locale et nationale – , les militants de Debout La République Alsace réuni dans leur QG de campagne n’ont pu que s’en réjouir. Sans aucune suffisance, mais avec la conscience d’avoir apporté leur contribution à la réussite du NON !
Un NON symbolique et encourageant pour la suite. Car comme en 2005 il a su rassembler les patriotes de tous bords. Symbolique aussi car il est le refus de cette classe politique qui gouverne la France et ses territoires en se servant soi-même. Il est aussi le refus d’un projet qui, sous couvert de modernité institutionnelle aurait détricoté encore un peu plus la République au profit sans aucun doute de l’Europe Technocratique !
Nicolas Chevalier-Roch
Secrétaire départemental du Haut-Rhin
Nicolas Chevalier-Roch répond aux journalistes
Discours au QG de DLR Alsace
