On n’avait pas vu pareille institution dominer l’Europe depuis la seconde guerre mondiale. En 2019, l’arrivée de Madame Von Der Leyen à la tête de la Commission européenne aux pouvoirs renforcés, a progressivement bouleversé l’échiquier géopolitique européen. Par de nombreuses prises de décisions unilatérales, sous couvert d’état d’urgence sanitaire, puis dans un contexte de guerre et d’inflation, cette commission centralisatrice domine les nations. Et pourtant, un vrai avenir démocratique est possible…
Des Etats faibles pour une Commission forte
A ce jour, la politique de l’Union européenne est soutenue par l’idée d’un marché unique, affaiblissant les nations fortes et avantageant les nations modestes et par l’illusion d’une Europe multiculturelle conséquence d’une submersion migratoire
Parallèlement, la commission européenne sort dangereusement de son rôle de coordinateur européen en multipliant menaces, règlementations et directives autoritaires envers les Etats membres. Sa récente attitude de « va t’en guerre » sur le sol ukrainien et l’inflation fruit d’une politique monétaire défaillante, nous dirigent vers un appauvrissement inévitable de tout le continent européen.
L’arrivée du portefeuille numérique européen quant à lui ne pourra que rediriger ses utilisateurs vers Bruxelles signant ainsi la fin des autorités gouvernementales seules pourvues de la légitimité démocratique. De plus, la volonté assumée de censure médiatique et journalistique nous mène vers une société liberticide qui provoquera la régression intellectuelle de notre civilisation.
La France, l’Etat providentiel ?
Et pourtant, malgré les nombreuses règlementations européennes déstabilisantes, affaiblissant notre nation, seule la France semble pouvoir libérer l’Europe de cette entité supranationale. En reprenant le contrôle de son territoire et en rétablissant une grande vision à son peuple, la France a les moyens de se positionner comme leader souverain, et rassembler les pays membres trahis par cette union fantôme.
La Hongrie, l’Italie et d’autres pays membres ne parviennent pas à s’opposer à la Commission européenne faute de dépendance monétaire, énergétique et économique à ce régime. De plus, exceptée la France, aucun ne dispose de la dissuasion nucléaire pour garantir sécurité et souveraineté à leur peuple, laissant leur destin aux mains de deux régimes étroitement liés : l’UE et l’OTAN.
En plus de détenir la dissuasion nucléaire, notre pays est aussi équipé d’une grande autonomie énergétique par ses nombreuses centrales nucléaires décarbonées limitant toute dépendance industrielle à l’Union européenne. La France peut ainsi récupérer sa souveraineté et dire non à la guerre, non à un régime liberticide et non à une écologie punitive polluée par les lobbyistes.
En réalité, le grand défi de notre nation repose sur sa capacité à rassembler son peuple pour retrouver une cohésion nationale perdue. La France attend ses libérateurs, ceux qui sauront rassembler autour d’une grande vision d’avenir, surpassant les différentes croyances qui la déchirent.
La vision d’une Europe forte
L’idée d’une Union des pays européens doit perdurer afin de préserver la paix et renforcer l’économie européenne qui souffre face aux Etats Unis et à la Chine. Cependant, elle ne peut être aliénée par des intérêts étrangers et ne peut être influencée par des entreprises multinationales aux uniques intérêts financiers.
C’est pourquoi, à Debout La France, nous prônons pour une Union reconstruite autour de la consultation des peuples, élisant un secrétariat européen aux pouvoirs limités, tenu de consulter tous les citoyens pour les grandes questions d’avenir.