Debout la France a récemment appris qu’une étude réalisée par l’ONG Eu DisinfoLab, portant sur l’activité et les propos des dizaines de milliers d’utilisateurs du réseau social Twitter dans l’affaire Benalla, révèle publiquement leurs sensibilités politiques. Parmi ces derniers, de nombreux adhérents de Debout la France se sont retrouvés illégalement fichés. Ce procédé scandaleux contraire à l’article 226-19 du Code pénal doit déboucher sur des sanctions. Le Bureau national de Debout la France s’associe aux plaintes déposées à la CNIL.
Cette organisation publie une étude partiale et tronquée en assimilant la réaction légitime de milliers de citoyens face au scandale Benalla à leurs potentielles orientations politiques. En se fondant sur des critères fallacieux, l’ONG assimile les utilisateurs à des extrémistes.
Sous couvert de transparence, EU DisinfoLab fait le jeu d’un nouveau totalitarisme : tout savoir sur tout le monde. La démocratie est bafouée au profit de la société de la surveillance et des réductions des libertés. « Big Brother » devient une réalité.
Debout la France refuse cette société totalitaire et dénonce fermement les méthodes de cette ONG financée notamment par la fondation Open Society détenue par un milliardaire philanthrope de pacotilles, Georges Soros, qui sème le chaos et la guerre partout où il passe.
Le Bureau national de Debout la France réaffirme son attachement aux libertés fondamentales sur internet encadrées par la responsabilité individuelle du citoyen. La liberté d’opinion et la liberté de conscience sont garantes du bon fonctionnement de la démocratie et nécessitent une vigilance indéfectible.
Le Bureau national de Debout la France avec Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne
Président de Debout la France