"Tout à coup le nouveau Premier ministre, Manuel Valls, et le Président de la BCE, Mario Draghi, découvrent que l'euro trop cher est une catastrophe, à quelques semaines des élections européennes, alors que la monnaie unique a déjà depuis longtemps ruiné l'industrie européenne", estime Nicolas Dupont-Aignan.
"De nombreux pays mettent en place des politiques de dévaluations compétitives comme le Japon, qui a dévalué sa monnaie de 47% par rapport à l'euro depuis août 2012, les Etats-Unis de 13%, l'Inde de 26%, ou encore l'Australie de 31%.
La BCE n'a rien fait depuis trop longtemps, encouragée par l’attentisme affligeant de notre classe politique, dont Manuel Valls et Michel Sapin, qui retrouvent un semblant de lucidité à quelques semaines des élections européennes" constate Nicolas Dupont-Aignan. Nicolas Dupont-Aignan souhaite que l’agitation de Manuel Valls et Mario Draghi se concrétise en actions pour permettre une dévaluation compétitive et donner ainsi une bouffée d’oxygène à nos entreprises, comme il le demande lui-même depuis longtemps.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne
Président de Debout la République