Le pillage d’Alstom par General Electric avec la complicité active et intéressée d’Emmanuel Macron est chaque jour de plus en plus évidente.
Après le chantage de GE contre EDF sur l’entretien des turbines nucléaires, le saccage de la filière hydroélectrique à Grenoble, la fin de la recherche sur les hydroliennes en Normandie, on apprend aujourd’hui que General Electric ne créera JAMAIS les 1000 emplois promis en 2015.
De fait, le groupe aura créé 25 emplois en 4 ans ! Et encore ce calcul est à la discrétion du groupe, et ne fait pas état de la perte de 345 emplois industriels nets, notamment sur le site de Grenoble.
Faute de tenir ses promesses, la multinationale américaine paiera une pénalité RIDICULE de 50 millions d’euros soit… 0.03% de son chiffre d’affaires ! Rappelons qu’Alstom valait plus de 12 milliards d’euros ! Ces 50 millions d’euros seront gérés par un comité bidon dont on se demande comment il sera rémunéré !
Face à cette arnaque monumentale, le Ministère de l’Economie s’est félicité que GE ait soit disant respecté ses accords contractuels ! De qui se moque-t-on ?
En réalité, Emmanuel Macron ne cesse de couvrir les méfaits de GE depuis le début. Sans doute le fait que la banque Rothschild, ancien employeur d’Emmanuel Macron, ait supervisé l’opération de rachat d’Alstom par GE n’est-il qu’un hasard !
Debout la France exige que la justice fasse enfin la lumière sur cette opération. A ce titre, nous soutenons la démarche entamée par Olivier Marleix qui a saisi le parquet pour enquêter sur la vente du pôle énergie suite aux révélations de l’ancien employé d’Alstom Frédéric Pierucci.
Nicolas Dupont-Aignan, Député de l’Essonne et Président de Debout La France.
Jean-Philippe Tanguy, Délégué national de Debout La France.