Avec M. Macron aux commandes, les élections Européennes de 2019 décideront définitivement du sort et devenir de la souveraineté de la France et, partant, de la maîtrise de ses choix et de sa Liberté.
L’apparente neutralité idéologique du Président dans le cadre du schéma « Droite/Gauche » (par ailleurs il est vrai totalement obsolète) occulte en réalité la finalisation d’une stratégie de « fusion-absorption » : la France, État unitaire, est en voie d’être absorbée par un État Fédéral Européen, dont elle deviendra juridiquement dépendante et obligée. Mettant en œuvre de pseudos-réformes censées satisfaire électoralement (et donc provisoirement) toutes les sensibilités constitutionnelles (État Libéral et État Providence), Macron avance vers son ambitieux ruban présidentiel de l’Union Européenne. Le schéma fondamental de l’État-Nation est occulté, sauf par les médias-propagandistes qui ont la mission assignée de dénigrer tout ce qui relève du peuple souverain, donc populaire et de nature à contrarier toutes formes d’oligarchies dont celle d’une Europe Fédérale totalement souveraine en Droit.
S’inspirant de Rousseau et de son « contrat social », Macron organise méthodiquement « le contrat associal », celui des directives Européennes dont il s’empresse en bon élève dévoué de faire un copier-coller abusant, par subterfuge, du vocable : « réforme ».
Au delà de la Liberté de la France, l’intégrité physique de chacun est aussi en jeu. Au quotidien, ceux qui ne sont pas égorgés, se doivent d’être sur-vaccinés, puis privés de dessert ou d’un Nutella dont le prix ne doit pas être trop bas (!). Le mythe du « bon consommateur docile » va politiquement s’imposer au moyen de seringues aux contenus invérifiables. Domestiqué, le « bon sauvage » va devenir l’instrument essentiel de la gouvernance fédérale réglementant jusqu’aux libertés fondamentales, à commencer par le droit de concevoir et de s’exprimer légalement.
Fédéralisée, la France sera dans l’incapacité de s’opposer à une levée d’impôts pour l’Europe, de répudier tout ou partie de sa dette publique illégitime, de reprendre le contrôle de la création monétaire, de décider de ses politiques, de maîtriser le moindre de ses choix et notamment celui de sa Justice qui ne sera plus rendue au nom du Peuple Français mais au nom de parquetiers, macron‑compatibles, décidant notamment de ne pas poursuivre sur des soupçons de financements irréguliers de campagne électorale… La première à être asservie sera la Justice.
L’État et l’individu sont effectivement « En Marche » vers la servitude qu’imposent progressivement les trois tyrannies convergentes qui forment une « bande organisée », détruisent notre quotidien et hypothèquent notre avenir : la mondialisation non régulée, la religion Islamique radicale et le fédéralisme Européen.
A ce rythme, la France tombée par terre aura encore un peu plus « le nez dans le ruisseau », ce qui, cette fois-ci, ne sera plus seulement le fait de Rousseau.
Reprenant ce que disait Nicolas DUPONT-AIGNAN durant les Présidentielles : « Pour être En Marche, il faut d’abord être debout. ». C’est bien la posture qu’il a adoptée depuis longtemps, montrant avec « Debout La France » la voie qui doit s’imposer. Les Élections Européennes seront l’occasion unique de mettre en œuvre dans le cadre d’une liste nationale,la coalition et le programme commun qu’il appelle pour échapper… à la convergence des totalitarismes.
En s’abstenant de lui répondre positivement ou en refusant toute forme de dialogue ou de débat, les leaders traditionnels, Wauquiez et MLP, font la démonstration de leur manque d’ouverture d’esprit, chacun se crispant sur une posture partisane, prétextant se recomposer quand, en réalité, ils se décomposent.
Qu’attendent-ils pour reconnaître la nécessité de cette coalition autour d’un leader… neuf, et exclusivement soucieux de la France ?
THIERRY GIORGIO
Délégué National à la Justice