Nicolas Dupont-Aignan n’a donc pas été réélu dans la 8ème circonscription de l’Essonne. C’est un fait.
Beaucoup de facteurs peuvent expliquer cette défaite : délais très courts, triangulaire, calomnies, bassesses.
Sans doute a-t-il payé aussi une parole trop libre et une prise de risques qui n’ont pas plu à tout le monde et Big Pharma a facilement aidé à cette élimination.
Cela n’empêche, il a perdu.
Il a été lanceur d’alerte lors de la crise Covid et, si je peux me permettre la comparaison, il se retrouve « suspendu » comme beaucoup de soignants qui ont osé apporter une parole différente sur la gestion de cette crise et ont accepté cette ignoble situation pour être en paix avec leur conscience et leur vécu de soignants.
Après 27 ans de présence à l’Assemblée Nationale, où il a énormément travaillé en séance, en commission des Affaires Etrangères, et sur le terrain auprès de ses administrés, faisant preuve d’un investissement sans faille, il faut accepter cet arrêt brutal, c’est le jeu. Avec ou sans remerciements.
On ne peut que souhaiter bonne chance aux nouveaux élus dans cette Assemblée qui montre déjà qu’elle va être très difficile à gérer ; et on peut se demander où se situent le bien commun et le salut de la France qui devraient être au cœur des préoccupations.
Ces valeurs, ainsi que la défense de nos libertés, qui tiennent particulièrement à cœur à notre Président de DLF, continueront à être défendues, vous pouvez compter sur nous.
« Suspendu » c’est-à-dire « arrêté brutalement dans sa course », ce qui peut être après tout favorable et permettre de réfléchir, de se reconstruire, de penser et agir différemment. Se poser et avoir plus de temps pour rebâtir un grand projet pour la France qui puisse unir et non perpétuellement diviser.
C’est ce qu’il nous présentera dans un livre d’ici quelques mois.
Nicolas Dupont-Aignan a reçu de nombreux témoignages de soutien qui montrent que non, il n’est pas tout seul ! Et que beaucoup de gens partagent ses valeurs et sont prêts à l’aider.
« Suspendu », c’est-à-dire être au-dessus de la mêlée, de la boue, de l’ambiance nauséabonde qui règne actuellement dans notre France et dans le monde politique. Nicolas Dupont-Aignan ne se compromet pas dans « des petites soupes sur les petits feux ». Il est indispensable de s’éloigner de ces turpitudes qui font perdre un temps et une énergie énormes alors que la France se délite. Le diagnostic, l’état des lieux, sont faits malheureusement et il faut un grand plan de survie. Qui sera à la hauteur de nos espérances ?
La «retraite » – se mettre en retrait – peut donc être une bonne chose et très salutaire après la déception et la colère naturelles.
A DLF, nous avons de belles forces vives qui ne demandent qu’à être sollicitées dans un esprit constructif dans bien des domaines.
Comme aucun des soignants suspendus ne regrette sa décision, son choix, car tout leur donne raison, gageons que cet évènement qui parait être un échec, sera en fait un tremplin pour rebâtir avec des fondations solides.
Comme pour toute reconstruction, il nous faut des moyens.
Des moyens humains de bonne volonté qui connaissent les problématiques de terrain.
Et des moyens financiers, nous osons le demander ; nous avons besoin d’aide matérielle, de dons ..Il n’y a pas de petits dons.
Beaucoup connaissent notre parti et ce qui fait nos différences, beaucoup partagent nos valeurs et ne se reconnaissent pas dans les autres hommes politiques, mais apprécient le courage, l’honnêteté, l’éthique, dans celui qui représente le mieux les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité et qui a montré son amour de la France.
Rejoignez ceux qui veulent une belle France, sans chercher leur intérêt personnel.
Rejoignez DLF !
«Ils ont essayé de nous enterrer, ils ne savaient pas que nous étions des graines» Proverbe mexicain