La Fédération Nationale du Bois par son refus de signer le contrat de filière met le doigt sur l'incohérence du gouvernement qui comme à son habitude ne joint pas la parole aux actes.
En effet après avoir inscrit bien tardivement la filière bois comme l'une des filières françaises d'avenir reconnaissant ainsi la place importante de la filière bois française le gouvernement demeure dans l'incapacité de négocier auprès de ses partenaires Européens, la mise en place de quotas seuls moyens de mettre un frein aux exportations massives de grumes vers l'Asie qui en 2014 ont doublés pour le chêne.
La filière bois Française qui emploi aujourd'hui près de 400 000 personnes ne doit pas faire les frais d'un manque de courage devant les instances Européennes .