L’actualité, encore aujourd’hui, met l’accent sur la détresse des familles qui ne peuvent avoir d’enfants après de nombreux et douloureux suivis médicaux.
Dans leur désespoir, ce désir d’enfants, les conduit à en venir à des procédés interdits par la loi sans parler de questions morales.
Aujourd’hui, en effet, un couple est interpellé pour avoir acheté par le biais de mafia roumaine un nourrisson pour le prix de 8000 euros et une BMW ancienne.
D’autre part, depuis plusieurs années, le gouvernement incité par l’Union Européenne (rapport Lunacek) tente de légiférer sur la GPA, Gestation pour autrui, loi qui permettrait de « se faire fabriquer un bébé » par une femme volontaire.
Nous savons que cela se pratique déjà à l’étranger moyennant finance. Cela veut dire tout simplement que la femme vend son corps pour permettre à un couple de pouvoir être parents.
Or, nous savons en même temps que de nombreux enfants sont placés par l’aseu, service des conseils départementaux pour l’enfance, dans des familles d’accueil, familles qui ont pour consigne formelle de rester « professionnelles » et ne surtout pas entrer dans l’affect avec la menace de changer l’enfant de famille !
Un excellent reportage sur le sujet est passé en fin de semaine sur une chaine de télévision.
Debout la France, demande que la loi sur la procédure d’adoption en France soit réétudiée afin qu’elle puisse permettre d’élargir les critéres d’adoptabilité celui de l’âge en particulier des adoptants et des adoptés et permettre ainsi à des enfants même grands de pouvoir profiter de l’amour d’une famille et aux couples désespérés de ne pas avoir d’enfants de pouvoir enfin légalement et sans attendre des années avoir le bonheur de fonder une famille et donner leur amour à ces enfants.
Cécile Bayle de Jessé
Déléguée nationale à l'Epanouissement familal