Les derniers chiffres avancés aujourd’hui par le Secours Catholique, illustrant la fracture territoriale qui s’aggrave en Ile-de-France, sont plus qu’alarmants.
Ainsi, 1,8 million des 12 millions d’habitants de la Région disposent de moins de 990 euros par mois.
De 2004 à 2012, la proportion des ménages pauvres y a augmenté deux fois plus vite qu’en France métropolitaine.
Le gouvernement n’entend pas les souffrances sociales terribles pour une partie de nos concitoyens, notamment franciliens. Le gouvernement ne veut pas voir non plus les conséquences de sa politique migratoire laxiste qui laisse arriver dans nos banlieues de nombreuses populations défavorisées dans l’espoir d’un illusoire Eldorado.
Ces injustices sociales doivent être en priorité corrigées.
Je propose cinq mesures simples pour endiguer ce phénomène et retrouver le chemin de la justice sociale :
- – Contrôler nos frontières nationales afin d’endiguer l’arrivée de populations que nos services sociaux n’ont plus la capacité de gérer ;
- – Libérer 500.000 emplois occupés par les « travailleurs détachés » étrangers qui ne payent pas les charges sociales en France;
- – Baisser de 50% l’impôt sur les bénéfices réinvestis sur le sol français afin de créer de la richesse sur notre territoire ;
- – Augmenter les salaires nets de 10% en baissant d’un tiers les charges des salariés. Cette mesure sera financée par une lutte implacable contre la grande fraude fiscale et les abus de l’assistanat ;
- – Instaurer un minimum retraite de 1.000 € nets pour ceux qui ont toujours travaillé en France.
La situation est une véritable poudrière : d’un côté, l’économie française est en panne avec la disparition de plus d’un million d’emplois, de l’autre l’arrivée d’un afflux d’immigrés que la France est incapable de loger, d’employer et d’assimiler, a des conséquences graves sur l’unité du pays.
Cela ne peut plus durer.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne
Président de Debout la France