Ce Samedi 28 Janvier va marquer les 500 Jours de suspension de nos soignants, pompiers et autres médico-sociaux obligés de se plier à l’obligation vaccinale , même immunisés, sans consentement libre, ni éclairé .
S’il est vrai que :
… Ce fut un choc très violent d’être exclus ainsi de toute vie sociale, de ne plus faire partie de la société, d’être menacés de prison, de ne plus assurer la survie de sa famille.
… Cette suspension, qui devrait être très provisoire, est inédite dans l’histoire des droits du travail ; pas de chômage, pas le droit de travailler ailleurs, pas de droit au RSA, interdits d’exercer et cela sans perturber les syndicats.
… Tout est fait pour nous rendre invisibles : beaucoup pensant même que, puisque le pass a été aboli, nous avons été réintégrés ; bannis après avoir été applaudis, dits irresponsables et dangereux. Combien sont-ils ces héros ? Trop peu pour empêcher l’hôpital de sombrer ?? Mais 120 000 selon Michèle Rivasi, député européen.
… Ils ne sont qu’une partie du plan de destruction de notre système de santé, destruction volontaire sous un prétexte pseudo-moral, plan social à pas cher, sans se salir les mains.
… Dans cette décision, il n’y a rien de sanitaire – le pseudo-vaccin n’empêchant ni l’infection, ni la transmission-, rien de scientifique, mais qu’elle est purement politique.
… Nous sommes le dernier pays au monde à ne pas les avoir réintégrés et indemnisés, car ils n’ont commis aucune faute, aucune illégalité, au contraire, ils ont sauvé des vies, et sont convoqués à leur Ordre pour cela.
… Beaucoup sont partis en Suisse ou en Belgique, pays qui ont su les accueillir à bras ouverts, en leur montrant combien ils étaient importants.
… Beaucoup se sont reconvertis dans des médecines parallèles, parfois douteuses avec le gros risque de formation rapide et de dérives sectaires possibles.
… Nous sommes dans une guerre de perception et d’information, qu’il n’y a pas de limite éthique à cette guerre.
Alors, pourquoi sont-ils toujours là, ces résistants du quotidien ? Quel est le sens de leur combat qui semble vain mais qui a une portée que bien peu comprennent ?
Dans le dictionnaire, on trouve (entre autre), au mot « suspendu » :
« Qui se tient à une certaine hauteur » et « qui est arrêté dans sa course »
C’est tout à fait cela ! Ce sont juste des hommes et femmes en quête de justice et de vérité, des lanceurs d’alerte,
Qui ont dit STOP à cette manipulation de l’opinion publique maintenue dans l’ignorance, ces mensonges, ces injonctions contradictoires, cette politique de la peur, ces conflits d’intérêt, qui ne sont pas dignes de la grandeur d’un Etat.
Ils ont dit STOP à cette destruction de la santé et de l’hôpital, ils participent à l’écroulement actuel de la doxa Covid pour faire éclater la vérité, au réveil des consciences, ils ont refusé de pratiquer une médecine sans sens et sans malades : « restez chez vous avec du Paracétamol », ils n’ont pas voulu se soumettre à l’Etat qui exigeait d’eux qu’ils obéissent aux dictats des cabinets de conseil, et soient dans une course en avant vaccinale. Ils ne sont pas corruptibles mais libres.
Ils ont pris de la hauteur et pris conscience de la gravité de la situation ; ils ont des métiers essentiels qui touchent l’homme et se demandent dans quelle société nous voulons vivre quand on entend le chef de l’Etat dire cette phrase monstrueuse : « il y a ceux qui réussissent et ceux qui ne sont rien» !
Ils souhaitent réparer la santé, recréer du lien entre tous, remettre l’humain au centre des préoccupations et préserver sa dignité, soigner et prendre soin.
Ils ont choisi une juste cause : « j’ai compris qu’il ne suffisait pas de dénoncer l’injustice, il fallait donner sa vie pour la combattre » Albert Camus
Nicolas Dupont-Aignan est le seul à se battre pour la réintégration des soignants, le seul à avoir compris notre combat. Nous recevons des témoignages de soutien exceptionnels – même de maires parrains .
Mes amis résistants, tenons bon, restons unis, soutenons les plus fragiles qui ne peuvent plus tenir.
Les suspendus seront l’avenir de notre pays ?
« La vérité et la justice sont souveraines car elles seules assurent la grandeur des Nations » Emile Zola.
Véronique ROGEZ
Vice-Présidente
Déléguée Nationale à la Santé