La parole est aux victimes !
Ce 4 mai 2023, nous avons vécu un moment historique avec le vote à l’Assemblée Nationale de l’Abrogation de la Loi inique du 5 Août 2021 sur l’obligation vaccinale pour les soignants et apparentés : c’est une première étape, une grande et belle victoire, mais le combat continue.
Ce combat continue car :
– Le texte doit encore passer au Sénat : écrivez à vos Sénateurs pour qu’ils soient aussi courageux que les Députés et s’unissent pour le bien commun.
– Mais surtout, le problème de fond n’est pas du tout réglé, et quand les orateurs à l’Assemblée ont abordé le fait que le vaccin n’est « ni sûr, ni efficace », que les effets secondaires dépassent ce qu’on peut imaginer, ils se sont vus répondre :
« Le complotisme l’a emporté sur la science…la vaccination est une arme de protection massive, mais les oppositions ont décidé d’envoyer un message regrettable aux soignants » F.Braun
« Cette abrogation est inacceptable » Agnès Firmin le Bodo
On est dans un déni de démocratie mais surtout dans un aveuglement sur la réalité de ce qui se vit.
– Ces soignants suspendus ont vu la réalité sur le terrain, le fait que le consentement « libre et éclairé » n’était pas signé par le patient, et que les effets secondaires dépassaient l’acceptable. Il fallait donc les empêcher de parler .Leur indemnisation, leurs années perdues de retraite, demandées par Nicolas Dupont-Aignan ne peuvent pas être envisagées actuellement puisque le gouvernement ne veut pas avoir tort et les considère toujours comme dangereux et irresponsables.
– Car, en effet , notre combat maintenant se poursuit pour faire « exploser » au grand jour – et cette journée du 13 Mai va contribuer à cette bataille de l’information ,du mensonge , de la propagande – ce scandale des effets secondaires caché par les autorités administratives, par les médecins qui les constatent , par les victimes elles-mêmes dans le déni , persuadées que ces injections encore expérimentales étaient pour leur bien et même pour le bien de leur entourage .
– L’ANSM recense officiellement au 13/4/2023 : 193 098 cas déclarésdepuis le début de la vaccination dont 25 % graves dont des morts. or, on sait qu’il y a une très grande sous-déclaration, seules 5 à 10 % des effets secondaires sont déclarés officiellement : faites le calcul ! Le principe de précaution aurait dû prévaloir depuis longtemps, et l’ANSM de préciser : cas déclaré ne signifie pas que l’effet est imputable au vaccin.
Suspendus réintégrés oui, 600 jours après, mais la vérité doit éclater, leur sacrifice héroïque ne doit pas être vain.
Nous avons besoin de tous les témoignages de victimes, qu’elles sachent qu’elles peuvent déclarer elles-mêmes, et surtout, car je l’ai entendu comme frein à la déclaration, que ce n’est pas aux victimes de prouver un lien de cause à effet !
Nous sommes dans une bataille de l’information et du mensonge où toute la campagne de vaccination a été basée sur cette injection qui empêcherait la transmission et qui serait sans effets secondaires. L’Allemagne reconnait pourtant que ce n’est pas vrai ; en France, des collectifs et associations de victimes se sont constitués : Vérity France, où est mon cycle, acouphènes, ou par branche professionnelle, etc.
L’INSEE montre une surmortalité en 2021 – 2022 et l’Etat refuse de communiquer les décès en fonction du statut vaccinal.
Alain Fisher, parle de « troubles menstruels bénins, c’est seulement une gêne qui rentre dans l’ordre rapidement, il n’y a pas de stérilité ni de fausse couche » ! Complément d’enquête le 4 mai 2023.
Le combat politique est utile, le témoignage du terrain et des victimes est fondamental .Personnellement, j’ai déclaré beaucoup d’effets indésirables et il ne se passe pas un jour sans qu’on me rapporte des cas dramatiques et je ne peux pas me taire. C’est mon serment d’Hippocrate.
Les médecins et les victimes ne doivent plus se taire.
Ce 13 Mai, nous vous invitons à parler, témoigner, recueillir des témoignages.
Grâce à Nicolas Dupont-Aignan et aux députés courageux, la cause progresse.
A vous maintenant de nous aider dans ce combat politique car toute vie compte.
Vous pouvez compter sur nous.
Véronique ROGEZ
Vice-Présidente
Déléguée Nationale à la Santé