Mieux vaut tard que jamais, Manuel Valls a enfin ouvert les yeux sur le matraquage fiscal subi par les Français, en admettant l’erreur de ne pas avoir voulu répondre aux angoisses de nos concitoyens sur ce sujet.
Incapable de tenir ses objectifs budgétaires, dans ce contexte de faible croissance et d’inflation, le gouvernement n’a cessé de vider le porte-monnaie des Français pour satisfaire les exigences de Bruxelles, au mépris de toute logique économique.
Ce matraquage fiscal qui a débuté sous le quinquennat précédent et qui n’a cessé d’augmenter depuis l’élection de François Hollande, a éteint, dans ce contexte de misère social et de chômage, tout espoir de reprise pour notre pays.
Il est plus que temps désormais de passer des paroles aux actes.
Le pouvoir PS doit entendre la colère des agriculteurs et restaurateurs qui croulent sous les normes et les réglementations, celle des artisans et commerçants qui sont asphyxiés par les charges et celle des retraités qui n’en peuvent plus de la vie chère et des difficultés à boucler leurs fins de mois.
La première mesure de bon sens serait de diviser par deux l’impôt sur les sociétés portant sur les bénéfices réinvestis sur le sol français pour permettre à nos PME de créer de la richesse dans notre pays, mais cela signifierait ne plus obéir à Bruxelles et à Berlin.
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne
Président de Debout la France
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