Debout la République regrette la relaxe dont ont bénéficié les FemensLe tribunal correctionnel de Paris vient de relaxer les 9 Femens qui avaient commis différentes dégradations matérielles à Notre-Dame-de-Paris et proféré des injures dans l’enceinte même de la cathédrale.Debout La République émet les plus fortes réserves quant à cette relaxe, qui apparait incompréhensible au regard de la gravité des faits reprochés.La laïcité, principe fondamental de la République Française, fait obligation à l’Etat de garantir avec neutralité le libre exercice des cultes. Cela implique que les autorités veillent à ce que chaque citoyen soit respecté dans ses croyances religieuses et que les lieux de culte soient protégés.Aucun laxisme ne peut être accepté à ce sujet. Aucun sentiment d’impunité ne doit pouvoir prospérer.Debout la République prend acte de l’appel formé par le Parquet et escompte que les Femens seront condamnées à hauteur de la gravité des infractions commises.Dominique MahéPrésidente de la Fédération de Paris de DLR
Debout la République regrette la relaxe dont ont bénéficié les Femens
Communiqués12 septembre 2014