Le budget destiné à financer l’immigration, l’asile et l’intégration augmente de 10 % pour dépasser 1,8 milliard d’euros. Et ce n’est que la partie émergée de l’iceberg qui ne tient pas compte des 2 milliards à la charge des départements pour le financement des mineurs isolés.
Si on ajoute les coûts (police, justice, prisons…) induits par la surreprésentation de la délinquance parmi les étrangers et les fraudes sociales, le coût de l’immigration explose et atteint plusieurs dizaines de milliards d’euros.
Pour 2020, le gouvernement entérine un nouveau record car rien n’est prévu pour stopper l’immigration légale et illégale qui dépassera les 400 000 personnes. Rien n’est fait pour stopper la filière de l’asile qui, au rythme actuel, atteindra les 150 000 demandeurs dont plus de 75 % seront déboutés.
Le budget ridicule de 33 millions d’euros pour les reconduites aux frontières permettra l’éloignement de 15 00 déboutés alors que 100 000 se maintiennent illégalement sur notre territoire.
Le budget immigration est bien la démonstration en chiffres que le gouvernent a renoncé à toute ambition de maitriser nos frontières et d’enrayer une submersion migratoire qui aggrave tous les maux et difficultés que rencontrent les Français.
Debout la France s’inscrit totalement à contre courant de ce laxisme et de cette capitulation, en demandant un référendum sur l’immigration et en proposant 5 mesures urgentes pour stopper la dérive immigrationniste.
Nadejda Silanina
Déléguée nationale à l’assimilation républicaine