Deux ans et demi à la tête de l’État et plus d’un demi-million de nouveaux étrangers légaux ou illégaux sur le territoire national plus tard, le président de la République découvre, dans un soudain et étrange accès de lucidité, que l’immigration pose un problème et particulièrement chez les classes populaires.
Comment croire une seconde à la sincérité de celui qui a inspiré il y a un an à peine une loi sur l’asile et l’immigration, si laxiste qu’elle a encore favorisé l’appel d’air et la submersion migratoire. Les demandes d’asiles baissent partout en Europe sauf en France et en Espagne. L’immigration de masse et non contrôlée désespère notre peuple, ruine nos finances publiques et nôtre protection sociale, nourrit l’ensauvagement de notre société et prépare la partition de la France. Ce flux ininterrompu de migrants condamne pour l’avenir toute possibilité d’intégration et a fortiori d’assimilation.
Aujourd’hui, notre machiavel au petit pied compte faire un coup politique en nous promettant un débat. Mais ce n’est pas d’un débat dont nous avons besoin. La réalité crève les yeux. Il faut des actes forts et immédiats. Debout la France par la voix de Nicolas Dupont-Aignan et du sénateur Jean-Louis Masson ont déposé l’an dernier une proposition de loi pour que notre peuple puisse se prononcer par référendum sur 5 mesures pour stopper l’immigration incontrôlée : rétablissement du contrôle aux frontières nationales, quotas, retour au vrai sens du droit d’asile et expulsion des déboutés, limitation du regroupement familial avec délai de carence pour les aides sociales et expulsion systématiques des délinquants étrangers.
Debout la France appelle au rassemblement le plus large pour imposer un référendum qui redonnera à notre peuple les moyens de reprendre en main son destin et préserver son identité.
Nadejda Silanina
Déléguée Nationale à l’Assimilation républicaine