Lors de son discours de la Sorbonne du 26 septembre 2017, Emmanuel Macon avait pour ambition d’imposer des listes transnationales pour les futures élections européennes de mai 2019 qui réuniraient des apparatchiks sur une liste unique alors qu’il n’existe ni démocratie ni peuple européen à part entière.
Après avoir essuyé une fin de non-recevoir de nos partenaires européens, à l’image de l’essentiel des mesures annoncées à la Sorbonne pour son projet fédéraliste de disparition des nations et des peuples, Emmanuel Macron avait quand même souhaité inscrire son idée farfelue dans la loi pour faire de la politique politicienne en France.
Fort heureusement le Sénat, grâce au travail des sénateurs Jean-Louis Masson, Christine Herzog et Claudine Kauffmann, a voté la suppression de cette disposition de la loi.
Une belle victoire de la démocratie représentative contre l’autoritarisme du système qui impose ses délires fédéralistes contre le vote du peuple depuis le référendum bafoué de 2005.
Debout la France