Aujourd’hui, l’article 34 du Plan de Financement de la Sécurité Sociale, concernant l’élargissement de l’obligation vaccinale, était en discussion à l’Assemblée Nationale
La question n’était pas de savoir si l’on est pour ou contre la vaccination. Ce n’est pas la raison contre l’obscurantisme, comme l’a caricaturé Madame Buzyn. Mais simplement de décider si l’obligation vaccinale va être élargie à 8 nouveaux vaccins, lesquels et pourquoi.
Pourquoi, en août dernier, le gouvernement a-t-il décidé d’élargir l’obligation vaccinale ? Alors que le Conseil d’Etat avait laissé 6 mois à la Ministre de la Santé pour rendre disponible en pharmacie le DTP, sans association avec d’autres vaccins facultatifs, suite à la mobilisation de plus d’un million de pétitionnaires.
Pourquoi rendre obligatoire la vaccination des nourrissons de plus en plus tôt, notamment contre l’Hépatite B, cette infection sexuellement transmissible et à risque pour les personnes au contact du sang ? Est-il vraiment nécessaire de l’inoculer à nos enfants alors que de nombreuses études constatent non seulement une disparition des anticorps anti hépatite B, 5 à 15 ans après l’acte vaccinal, mais aussi parfois une moindre efficacité du vaccin lors des rappels à l’adolescence, juste avant les premiers rapports. Ce vaccin est-il protégé par brevet ?
Pourquoi le Premier ministre a rendu secrètement visite à Sanofi le 20 juillet dernier ? En plein débat sur la lutte contre les conflits d’intérêt en politique, l’opération est à tout le moins maladroite.
Pourquoi continuer à inoculer des vaccins contenant de l’aluminium comme adjuvant ?
Alors que la vaccination contenant de l’aluminium n’est plus pratiquée par les laboratoires pharmaceutiques sur les animaux, les chiens et les chats ?
Les Français doivent savoir que vacciner les enfants contre 11 maladies graves d’un coup est en soi un geste médical risqué ! D’autant plus que deux mois après la naissance le système immunitaire n’est pas en place, il faut attendre 18 à 24 mois.
Les Français doivent également connaître le prix de la mesure. 110 à 120 millions € par an supplémentaires à la charge de la sécurité sociale et au bénéfice des laboratoires !
J’avais d’ailleurs déjà dénoncé cette vaccination forcée et couteuse, le 10 mars, sur mon blog.
Le vaccin DTP, sans aluminium, a fait ses preuves depuis des années. Ce n’est donc pas une question de confiance dans la vaccination, comme le dit Madame Buzyn, mais simplement dans le choix des vaccins rendus obligatoires et leur composition.
Je ne suis pas contre la vaccination, qui a prouvé son utilité, mais contre la vente forcée de 11 vaccins, sans le recul nécessaire. J’appelle le gouvernement à suspendre sa décision d’étendre l’obligation vaccinale et à relancer la commercialisation du vaccin DTP, sans aluminium, sans mercure et sans nanoparticules.
Je demande également l’ouverture d’une commission d’enquête parlementaire pour faire la lumière sur l’opportunité de rendre obligatoire ces 8 autres vaccins. En tant que parents, nous souhaitons avoir des garanties. Il en va de la santé de nos enfants !
Nicolas Dupont-Aignan
Député de l’Essonne
Président de Debout la France