Dans une interview au Parisien, le nouveau ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a déclaré réfléchir à rendre obligatoire 11 vaccins, contre 3 aujourd’hui (diphtérie, tétanos et poliomyélite). Réflexion entérinée par Édouard Philippe qui a annoncé, lors de son discours de politique générale, que l’ensemble des “vaccins pour la petite enfance” aujourd’hui seulement “recommandés” par les autorités de santé deviendraient obligatoires dès l’an prochain.
Déjà en 2008, l’Etat et l’industrie pharmaceutique avaient retiré en catimini le vaccin DTP du marché pour le remplacer par le vaccin hexavalent, rendant systématique l’injection de trois vaccins non obligatoires (coqueluche / haemophilus influenzae type b / hépatite B). Mais le Conseil d’Etat a rendu une décision le 8 février dernier en faveur des familles, suite à la mobilisation de plus d’1 million de pétitionnaires. Les fabricants de vaccins sont restés muets attendant un nouveau ministre de la santé et faisant croire qu’il fallait 10 ans pour obtenir ce DTP, alors qu’ils le fabriquaient antérieurement ! Les juges ont laissé, à Agnès Buzyn, jusqu’au 8 août 2017 pour prendre une décision.
Au-delà du coût de la mesure, 110 à 120 millions €/an à la charge de la sécurité sociale et au bénéfice des laboratoires, les Français doivent savoir que vacciner les enfants contre 11 maladies graves d’un coup est en soi un geste médical risqué ! D’autant plus que deux mois après la naissance le système immunitaire n’est pas en place, il faut attendre 18 à 24 mois.
Le vaccin DTP, sans aluminium, a fait ses preuves depuis des années. Pourquoi rendre obligatoire la vaccination des nourrissons de plus en plus tôt, notamment contre l’Hépatite B, cette infection sexuellement transmissible, à risque pour les personnes au contact du sang, comme le personnel soignant ? La Cour de Justice de l’Union européenne a d’ailleurs constaté, ce 21 juin, des indices suffisamment forts pour établir un lien entre vaccin contre l’hépatite B et sclérose en plaques afin d’ouvrir un droit à l’indemnisation des victimes !
Pour ce qui est des adjuvants utilisés, notamment l’aluminium, ils sont déjà interdits pour les animaux ! Pourquoi le maintenir alors que sa toxicité est prouvée par des travaux scientifiques menés dans notre pays ?
J’avais déjà dénoncé cette vaccination forcée, le 10 mars, sur mon blog (http://blog.nicolasdupontaignan.fr/post/Non-à-la-vaccination-forcée-de-nos-enfants-avec-l-hexavalent-%21).
Les lobbies sont à la manœuvre, j’appelle donc le gouvernement à appliquer le principe de précaution, à ne pas rendre obligatoire ces 8 vaccins supplémentaires et à relancer la commercialisation du vaccin DTP, sans aluminium, sans mercure et sans nanoparticules. Il en va de la santé de nos enfants !